
J-15 avant l'Inde (ou à peu près)...
oups.
- Médicaments toujours pas achetés
- Visa toujours pas reçu
- Sac toujours pas commencé
- 1ière nuit toujours pas réservée
Et ben dis donc on est pas très très avancés ...
Le téléphone portable, révélateur de passion
SEOUL (Reuters) - Un opérateur de téléphonie mobile propose aux Sud-Coréens de mesurer secrètement l'amour de leurs bien-aimés en analysant leurs voix.
Le service "Love Detector" (détecteur d'amour) de l'opérateur mobile KTF utilise une technologie qui, selon lui, interprète les modulations de la voix pour révéler si l'interlocuteur parle avec franchise et affection.
"Nous avons mis au point ce service parce que nous pensons que beaucoup de gens veulent savoir ce que les autres pensent d'eux", a déclaré un responsable de KTF, Ahn Hee-jung.
Lors d'une conversation, une "échelle de l'amour" s'affiche sur le combiné et l'utilisateur reçoit par SMS ensuite une "analyse" qui révèle le degré d'affection, de surprise, de concentration et de franchise de l'interlocuteur.
Le service est facturé 1.500 wons (1 euro) par mois pour un accès illimité ou 300 wons (0,2 euro) par appel.
http://www.latribune.fr/info/Le-telephone-portable--revelateur-de-passion-176-~-COREE-TELEPHONE-20080214TXT-$Db=News/News.nsf
Le téléphone moqueur
Les Japonais ont conçu un nouveau appareil qui se permet de faire des réflexions à chaque fois que vous décrochez votre combiné. Aussi rigolo qu’inutile.
Les Japonais se savent plus quoi inventer pour vendrer des téléphones à des consommateurs toujours plus exigeants. (AFP)
Les Nippons aussi fanatiques des robots qu'accros à leur téléphone mobile, vont bientôt pouvoir s'offrir un objet qui comblera toutes leurs folies: un terminal aux allures de «Goldorak», malin et railleur, qui suit de près les conversations de son propriétaire. Actuellement en phase de conception chez le troisième opérateur mobile nippon, Softbank, ce téléphone iconoclaste et exclusif, «Phonebraver», devrait être disponible en avril. Il est inspiré d'un personnage de série télévisée. Ses jambes et bras articulés ne sont pas actionnés par des moteurs, mais sa figure (l'écran) s'anime. Selon Softbank, il est assez intelligent pour détecter les manies de l'utilisateur, et ne se prive pas de lui faire quelques réflexions bien senties, plus ou moins sympathiques. Par exemple, si la même personne est appelée plusieurs fois par jour en dehors des heures de travail, le perspicace robot pourra se fendre d'une phrase telle que: «tu l'appelles bien souvent celle-là, ces derniers temps, non?», selon un porte-parole de Softbank, Katsuhide Furuya. Le tout en faisant un clin d'oeil ou en ricanant. L'opérateur, en partenariat avec le fabricant japonais de ce téléphone de troisième génération (3G), Toshiba, et des créateurs de logiciels, étudie diverses autres fonctionnalités, notamment des capacités de dialogue entre le robot-mobile et son possesseur. Softbank, qui compte moins de clients que ses concurrents NTT DoCoMo et KDDI, essaie de gagner des parts de marché en multipliant les réductions tarifaires et en proposant des appareils d'une esthétique surprenante en exploitant les goûts de différents types de public. Il propose déjà un mobile aux couleurs de l'archi-populaire histoire de robots «Gundam». Il s'apprête aussi à lancer avec Disney des téléphones pour séduire les Nippones d'une vingtaine d'années inconditionnelles de Mickey et de la ribambelle de personnages qui l'accompagnent.
http://www.lessentiel.lu/life/tendance/story/14463140
http://www.lessentiel.lu/news/luxembourg/story/15490568
http://www.le-quotidien.lu/edition/article.asp?ArticleId=13625Baptisé Vel'oh!, le projet de vélos en libre-service sera opérationnel à Luxembourg à partir du 21 mars. Paul Helminger et François Bausch, le premier adjoint, ainsi que des collaborateurs au projet ont présenté, hier à Paris, le concept de ce qui est d'ores et déjà à inscrire comme un mode de transport à part entière.Ils s'appelle Vélib' à Paris, Vélo'v à Lyon. À Luxembourg, ce sera Vel'oh!. Il roule, il roule, le projet de vélos en libre-service à Luxembourg. Surement plus vite que la petite souris verte dans l'herbe, surtout lorsqu'il se trouve sur les rails du TGV avec au bout du voyage un terminus nommé concrétisation. Paul Helminger, le bourgmestre de Luxembourg et le premier échevin, François Bausch, accompagnés d'une délégation de la Ville de Luxembourg et des représentants des médias au Grand-Duché s'en sont allés, dossiers sous le bras, présenter à Paris le système de vélos en libre-service qui sera opérationnel le 21 mars prochain, dans la capitale luxembourgeoise. La destination n'est pas anodine puisque les décideurs de la Ville se sont précisément inspiré du Vélib', le nouveau système de vélos en libre-service à
Paris monté avec la société JC Decaux, et qui a été lancé le 15 juillet 2007. 250 vélos, 25 stationsÀ partir du 21 mars, les habitants et les travailleurs dans la capitale apprendront à connaître une nouvelle composante qui fera désormais partie de leur environnement. En chiffre Vel'oh!, c'est 250 vélos répartis sur 25 stations disséminées dans la Ville. Les stations ne seront pas séparées par une distance supérieure à 400 mètres.Les objectifs de la Ville sont clairs : «Ce système de vélos en libre-service a déjà fait ses preuves dans d'autres villes comme Lyon et Paris. Le vélo ne doit pas annuler les autres transports à Luxembourg mais assurer l'accessibilité de la ville pour tous dans la complémentarité des modes de transports», a souligné Paul Helminger, lors
d'une conférence donnée sur une péniche amarrée près du pont Mirabeau sur la Seine, et qui n'est autre qu'un atelier mobile de réparation pour le Vélib'. Une manière efficace de réparer rapidement les vélos sur place sans devoir affronter les problèmes parisiens, qu'on ne présente plus. La société JCDecaux est l'autre grand collaborateur du projet puisque c'est elle qui fournit les vélos et qui se charge de la gestion des abonnements. Jean-Claude Decaux, le président-fondateur, accompagné de son fils Jean-Sébastien, administrateur délégué, a insisté sur le poids du vélo (22 kg) : «Le vélo est lourd car il est fait pour rouler et non pas pour être porté. Concernant la répartition des stations, l'important est de privilégier le centre-ville, les gares et les zones piétonnières». Ce qui n'empêche pas le Vel'oh! de couvrir tout le quartier du Kirchberg, «une zone à privilégier au moins autant que le centre-ville», a avoué clairement Ed Streitz, de la division mobilité urbaine, autre grand articulateur du projet.Pour les représentants de la Ville, le vélo en libre-service s'inscrit dans le cadre d'un concept global de mobilité avec le (futur) tram, le bus, le stationnement et l'accès piétonnier. Autant de domaines qui feront chacun l'objet de futures créations ou aménagements. Ce projet comporte en outre un avantage important : le prix. Celui-ci se veut particulièrement séducteur à l'égard du grand public en raison du fait qu'une grande partie du financement est obtenue grâce à la publicité, particulièrement décriée par les membres de l'opposition communale qui l'ont qualifiée de «pollution visuelle sans précédent» et de «marché de dupe», faite par l'intermédiaire du mobilier urbain. «Il s'agit d'une querelle complètement dépassée. Il faut penser à avancer véritablement et ce concept de vélo ne peut aller que dans le bon sens», a estimé François Bausch. On ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, surtout s'il s'agit d'une recette dont le succès dépend d'un certain nombre d'ingrédients pas forcément évidents à réunir…