Dans son livre - TheCase of the Female Orgasm la philosophe et biologiste Elizabeth Lloyd considère qu’il n’y a aucune utilité à l’orgasme féminin au regard de l’évolution de l’espèce. Cela expliquerait, selon elle, pourquoi tant de femmes souffrent d'anorgasmie.
Jusqu’à la 8e semaine de gestation, en dehors de la différence au niveau des chromosomes, les embryons humains sont sexuellement indifférenciés. Ensuite, le pénis et le clitoris ont la même origine et leurs tissus nerveux etérectiles sont similaires. Donc, selon la philosophe, l’orgasme chez la femmene découle que de la présence du clitoris qui est aussi inutile chez la femme que les seins chez l’homme.
Selon une théorie dite de la « succion », l’orgasme favoriserait la natalité enfacilitant la marche des spermatozoïdes.
Madame Lloyd rejette cette théorie en affirmant que si elle était exacte, les femmes ayant des orgasmes enfanteraient plus que les autres, ce qui n’est pas le cas. Finalement, en se basant sur l’évolution passée des espèces, elle déclare que l’orgasme féminin est appelé àdisparaître.
source : http://www.cerveauetpsycho.com/
Moi je soutiens que s'il n'y a même plus l'espoir d'éprouver un peu de plaisir pour les femmes, vous allez avoir du mal à trouver femelle volontaire pour s'entrainer. Et donc une certaine diminution des naissances "accidentelles" est probablement à prévoir... D'où l'utilité de l'orgasme féminin pour la reproduction de l'espèce.
De même, pour un homme ça ne doit pas être hyper folichon de se dépécher de faire son affaire parce que madame ni trouve aucun intérêt. Donc même phénomène : nombre des naissances "accidentelles" en baisse.
Et si l'orgasme féminin est amené à disparaître : profitons-en ;)
1 commentaire:
Et c'est philosophe, ça a fait des études.
Le but du plaisir féminin est d'inciter la femme à renouveller l'acte. Tout simplement. La difficulté de certaines femmes à jouir est due à la pression énorme que le patriarcat fait peser sur la sexualité féminine. Une femme a un appétit sexuel développé? c'est une salope, une moins que rien (toujours d'actualité chez les jeunes). La femme est élevée dans l'idée que sa sexualité est moins puissante que celle de l'homme (un chasseur, n'est-ce-pas..), qu'elle doit avant tout le satisfaire car il pourrait aller voir ailleurs. Elle est priée de rester jeune et mince alors que ses rides et sa bedaine à lui sont valorisés. Comment parviendrait-elle à se détendre?
Cette biologiste est imprégnée des théories essentialistes préconisée par le patriarcat...
Ca s'appelle se tirer une balle dans le pied. Idiote.
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