mercredi 27 février 2008

Vel'oh

Et voilà on connait enfin le nom du Velib luxembourgeois : Vel'oh.
Et pour savoir à quoi il ressemblera regardez la pub : http://www.dailymotion.com/video/x4hwt4_veloh001_news

Dispo à partir du 21 mars :'( je ne serais pas là pour le lancement. 250 vélos pour 25 stations ... Les stations ne seront pas séparées par une distance supérieure à 400 mètres. Le vélo fait 22kg.

http://www.lessentiel.lu/news/luxembourg/story/15490568

Baptisé Vel'oh!, le projet de vélos en libre-service sera opérationnel à Luxembourg à partir du 21 mars. Paul Helminger et François Bausch, le premier adjoint, ainsi que des collaborateurs au projet ont présenté, hier à Paris, le concept de ce qui est d'ores et déjà à inscrire comme un mode de transport à part entière.


Ils s'appelle Vélib' à Paris, Vélo'v à Lyon. À Luxembourg, ce sera Vel'oh!. Il roule, il roule, le projet de vélos en libre-service à Luxembourg. Surement plus vite que la petite souris verte dans l'herbe, surtout lorsqu'il se trouve sur les rails du TGV avec au bout du voyage un terminus nommé concrétisation. Paul Helminger, le bourgmestre de Luxembourg et le premier échevin, François Bausch, accompagnés d'une délégation de la Ville de Luxembourg et des représentants des médias au Grand-Duché s'en sont allés, dossiers sous le bras, présenter à Paris le système de vélos en libre-service qui sera opérationnel le 21 mars prochain, dans la capitale luxembourgeoise. La destination n'est pas anodine puisque les décideurs de la Ville se sont précisément inspiré du Vélib', le nouveau système de vélos en libre-service à
Paris monté avec la société JC Decaux, et qui a été lancé le 15 juillet 2007. 250 vélos, 25 stations


À partir du 21 mars, les habitants et les travailleurs dans la capitale apprendront à connaître une nouvelle composante qui fera désormais partie de leur environnement. En chiffre Vel'oh!, c'est 250 vélos répartis sur 25 stations disséminées dans la Ville. Les stations ne seront pas séparées par une distance supérieure à 400 mètres.Les objectifs de la Ville sont clairs : «Ce système de vélos en libre-service a déjà fait ses preuves dans d'autres villes comme Lyon et Paris. Le vélo ne doit pas annuler les autres transports à Luxembourg mais assurer l'accessibilité de la ville pour tous dans la complémentarité des modes de transports», a souligné Paul Helminger, lors
d'une conférence donnée sur une péniche amarrée près du pont Mirabeau sur la Seine, et qui n'est autre qu'un atelier mobile de réparation pour le Vélib'. Une manière efficace de réparer rapidement les vélos sur place sans devoir affronter les problèmes parisiens, qu'on ne présente plus. La société JCDecaux est l'autre grand collaborateur du projet puisque c'est elle qui fournit les vélos et qui se charge de la gestion des abonnements. Jean-Claude Decaux, le président-fondateur, accompagné de son fils Jean-Sébastien, administrateur délégué, a insisté sur le poids du vélo (22 kg) : «Le vélo est lourd car il est fait pour rouler et non pas pour être porté. Concernant la répartition des stations, l'important est de privilégier le centre-ville, les gares et les zones piétonnières». Ce qui n'empêche pas le Vel'oh! de couvrir tout le quartier du Kirchberg, «une zone à privilégier au moins autant que le centre-ville», a avoué clairement Ed Streitz, de la division mobilité urbaine, autre grand articulateur du projet.Pour les représentants de la Ville, le vélo en libre-service s'inscrit dans le cadre d'un concept global de mobilité avec le (futur) tram, le bus, le stationnement et l'accès piétonnier. Autant de domaines qui feront chacun l'objet de futures créations ou aménagements. Ce projet comporte en outre un avantage important : le prix. Celui-ci se veut particulièrement séducteur à l'égard du grand public en raison du fait qu'une grande partie du financement est obtenue grâce à la publicité, particulièrement décriée par les membres de l'opposition communale qui l'ont qualifiée de «pollution visuelle sans précédent» et de «marché de dupe», faite par l'intermédiaire du mobilier urbain. «Il s'agit d'une querelle complètement dépassée. Il faut penser à avancer véritablement et ce concept de vélo ne peut aller que dans le bon sens», a estimé François Bausch. On ne fait pas d'omelette sans casser des œufs, surtout s'il s'agit d'une recette dont le succès dépend d'un certain nombre d'ingrédients pas forcément évidents à réunir…
http://www.le-quotidien.lu/edition/article.asp?ArticleId=13625

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Plus d'info sur le site officiel ! --> http://www.veloh.lu/